M algré ce que l'on peut voir de New York à la télévision, voir même ce que l'on peut lire d'elle dans les livres, New York est une ville aux multiples facettes où chacun peut avoir la chance d'écrire son histoire mais surtout de la vivre ! Nombreux sont ceux qui veulent vivre le rêve Américain, inutile de faire le défaitiste face à la difficulté que l'on peut croiser, ou de s'avouer vaincu, à vous de faire de votre destin la vie que vous méritez de vivre !

Une petite anecdote de personnes qui se donnent les moyens de vivre leur rêve d'enfant :

« Quand je serais grand, je serais pilote d'avion. » Déclara Avery à Jessica qui venait d'avouer que quand elle serait grande elle serait une reine. Faut dire qu'à 6 ans en plus d'être bavard, on se projette facilement dans l'avenir, on ne connaît pas encore les cours, leurs difficultés mais surtout le calvaire que ça peut représenter pour certains. « Non ce sera moi le pilote. » Le reprit Colin qui était dans la même pièce à croquer dans son goûter alors qu’Emma se mit à parler la bouche pleine. « Moi je serais votre docteur et je vous ferais des piques piques. » Dit-elle en riant alors avant de pointer son index sur le bras d’Avery qui s'éloignait sur le côté. Elle parlait de piqûre et personne n'aime ça, même les adultes.

Bien des années plus tard leurs rêves Américains prennent forme, enfin Avery est avocat dans un grand cabinet de New York, mais à côté de ça il pilote des avions pour son plaisir. Colin lui est un homme d'affaires bien influent et pour son plaisir il conduit son hélicoptère. De son côté Jessica à put avoir la chance d'être la reine du bal au bras à la fin de ses années de lycée avant de poursuivre vers une carrière de reine de la nuit dans un bar tendance qui s'illumine la nuit. Il lui arrive de sortir son diadème pour les grandes occasions. Et la petite gourmande, elle a su soigner des cœurs par sa parole réconfortante, envoyer des piques pour répondre à ce qu'elle n'aimait pas, mais surtout aujourd'hui elle est infirmière donc les piqûres ça la connaît bien !

Leurs rêves Américains c'était de faire ce qu'ils aiment, mais surtout quelque chose où ils se sentent le mieux. Visiblement c'est réussi pour les quatre, enfin ils ont encore du chemin à faire pour rejoindre la retraite surtout que New York est une ville pleine de surprise. D'ailleurs parlons un peu plus de « Big Apple », son surnom souvent utilisé qui lui va d'ailleurs comme un gant. Sous ses grands airs de ville touristique, sa vision idyllique peut cacher bien de nombreuses choses. Quand retentissent les cloches qui annoncent l'heure où toutes les cendrillons du monde dorment à poings fermés, les lumières de la ville vous dévoileront un paysage plus que magnifique mais surtout l'occasion de voir que New York continue de vivre. Place à la fête, la drogue, la débauche mais surtout à certains nightclubers d'exceller dans le monde de la nuit. Ce n'est pas facile de se faire remarquer, sauf si on est ambitieux et qu'on montre ce qu'on a dans le ventre ! New York est bien une ville qui ne dort Jamais.

Alors, New York est-ce la ville modèle ou vivre son rêve Américain ? Il faut le vivre pour pouvoir y répondre.

L’air chaud de ce début d’été souffle sur ta joue, tandis que les éclats de rire et le bruit de l’eau résonnent près de la rivière où se trouve un groupe d’amis. Ils n’en faut pas plus pour rendre les gens heureux. Un pique-nique, près du seul point d’eau naturel de la petite ville de Marlott, perdue dans la campagne Anglaise et éloignée de tous les drames et de tous les problèmes de grandes villes. Ici, tout le monde se connait. C’est comme grandir avec une très grande famille, qui se réunit sur la place du village à chaque occasion pour danser et faire la fête. Le soir, quand la nuit tombe et que l’air se fait plus frais, il n’est pas rare que des amateurs de musique se regroupent avec leurs guitares, et que les plus festifs des villageois les rejoignent pour se mettre à chanter sous le clair de lune. Et le jour, on retrouve les jeunes filles assises sur les bancs, en train de lire de merveilleuses histoires de la littérature classique. On peut sentir dans l’air paisible la joie et le bonheur de chacun des habitants, comme un parfum de rose à travers les ruelles. La paisible vie de campagne, où l’on peut sortir dans la rue tout sourire, et saluer n’importe qui. Les petites maisons anciennes, suffisantes pour vivre, mais qui donnent vite envie de sortir prendre l’air pour rejoindre d’autres personnes qui, comme toi, en on vite eu marre du réseau wifi saturé et de la chaleur condensé dans la petite chambre sous le toit. Une vie où, enfin, on décide de profiter tant qu’on le peut encore, de vivre chaque moment, de les partager, au lieu de les vivre par procuration sur les réseaux sociaux. Une vie où les journées, aussi remplies de joie soit-elles, semblent s’étendre à l’infini jusqu’au lever du jour, pour ensuite recommencer.